MON.ETOILE.D.ESPOIR
Mon Reve Etoile
Jeudi 4 octobre 2012 à 6:05
Un homme vraiment intelligent n'a pas le choix ; son esprit ne pouvoir voir que le vrai il ne peut choisir que la voie de la vérité.
Jeudi 4 octobre 2012 à 5:55
La vérite n est jamais dans le passé..Les vérites du passé sont les cendres de la mémoire. La mémoire appartient au temps. Dans les cendres mortes de hier
il n y a pas de vérité. La vérité est une chose vivante....elle n est pas dans la sphère du temps
Krishnamurti
Jeudi 4 octobre 2012 à 5:43
Ne reste pas dans l illusion, vas vers la réalité éternelle
Ne reste pas dans l obscurité, va vers la lumière
Jeudi 4 octobre 2012 à 5:39
l'ignorance n'est point le manque de savoir, mais le manque de connaissance de soi ;
J. Krishnamurt
sans connaissance de soi il n'est point d'intelligence. Contrairement au savoir, la connaissance de soi n'accumule pas; apprendre se fait d'instant en instant. Ce n'est pas un processus additif; dans le processus d'accumulation, il se forme un centre qui est celui du savoir, de l’expérience. Dans ce processus, qu'il soit positif ou négatif, il ne peut y avoir de compréhension. Le mouvement de la pensée, du sentiment, ne peut être compris, et il ne peut y avoir de connaissance de soi tant que subsiste l'intention d'amasser ou de résister. Il n'y a pas d'intelligence sans connaissance de soi. La connaissance de soi est un présent actif, non un jugement; toute autocritique implique une accumulation, une évaluation à partir d'un centre d'expérience et de savoir. C'est ce passé qui fait obstacle à la compréhension du présent actif. La poursuite de la connaissance de soi est un acte d'intelligence.
J. Krishnamurti
Jeudi 4 octobre 2012 à 5:25
Ce qu'il est important de découvrir, ce n'est pas de savoir qui est le maître, le saint, le leader, mais pourquoi vous le suivez.
J. Krishnamurt
Le savoir particulier, exclusif, offre des satisfactions très agréables. Savoir quelque chose qu'un autre ignore est une source permanente de satisfaction ; cela donne le sentiment d'être en contact avec des choses plus profondes, et cela donne du prestige et de l'autorité. Vous êtes directement en contact, vous avez quelque chose que les autres n'ont pas, et cela vous donne de l'importance, non seulement vis-à-vis de vous-même, mais devant les autres. Les autres ont pour vous une sorte de considération craintive parce qu'ils voudraient partager ce que vous détenez ; mais vous donnez, et vous en savez toujours plus. Vous êtes le chef, l'autorité ; et il n'est pas très difficile d'en arriver là car les gens veulent qu'on les enseigne et qu'on les mène. Plus nous avons conscience d'être dans l'égarement et la confusion, plus nous sommes désireux d'être guidés et informés ; c'est ainsi que l'autorité se fonde au nom d'un Etat, d'une religion, d'un maître ou d'un leader politique.
Le culte de l'autorité, pour les petites comme pour les grandes choses, est néfaste, surtout lorsqu'il s'applique au domaine religieux. Il n'y a pas d'intermédiaire entre vous et la réalité ; s'il s'en présente un, il ne peut être que malfaisant, il ne peut que pervertir la réalité, qui que ce soit, qu'il s'agisse du plus grand messie ou du plus récent gourou. Celui qui sait ne sait pas ; toute sa science n'est constituée que de ses propres préjugés, de ses croyances qui ne sont rien de plus que des projections de son moi, des exigences de ses sens. Il ne peut pas connaître la vérité, l'incommensurable. On peut édifier une position et une autorité et on peut l'exploiter avec art et astuce, mais pas l'humilité. La vertu libère ; mais cultiver l'humilité n'est pas une vertu, cela appartient au domaine de la sensation, donc c'est nuisible et destructeur ; c'est un esclavage qu'il faut briser et rebriser sans cesse.
Jeudi 4 octobre 2012 à 5:11
La pensée brisant ses liens devant sa propre insignifiance est l'explosion de la méditation.
J. Krishnamurti,
Jeudi 4 octobre 2012 à 5:05
Seul l'esprit qui s'est dégagé du connu est créateur.
Si c'est la première fois que vous entendez déclarer qu'il vous faut être libérés de la pensée, vous allez peut-être dire : « Pauvre type, il est fou ! ». Mais si vous avez vraiment écouté, que vous l'avez fait, non seulement cette fois-ci, mais depuis de nombreuses années au cours desquelles certains d'entre vous ont peut-être lu tout ce qui a été écrit à ce sujet, vous saurez alors que ces propos sont animés d'une vitalité extraordinaire et d'une vérité profonde. Seul l'esprit qui s'est dégagé du connu est créateur. C'est cela, la création. Ce qu'il crée n'a rien à voir avec lui. Être libéré du connu, c'est la condition d'un esprit en pleine création. Comment un tel esprit peut-il se soucier de lui-même ? Pour comprendre cet état d'esprit, vous devez donc vous connaître, observer le processus de votre propre pensée - l'observer sans le modifier, mais
simplement l'observer comme lorsque vous vous regardez dans une glace. Lorsque la liberté est présente, vous pouvez alors vous servir du savoir sans qu'il détruise l'humanité. Mais quand la liberté est absente, lorsque vous vous servez du savoir, vous faites le malheur de tous, que vous soyez en Russie, en Amérique, en Chine ou n'importe où. Je qualifie de sérieux l'esprit qui est conscient du conflit du connu sans en être prisonnier et sans faire d'efforts pour modifier ou améliorer le connu. Car sur ce chemin, il n'y a pas de fin à la souffrance et au malheur.
J. Krishnamurti
De la liberté
Jeudi 4 octobre 2012 à 4:58
S'aimer d'amour, c'est vivre l'un dans l'autre : c'est se confondre."
Charles Dollfus
Mercredi 3 octobre 2012 à 18:32
Être, c’est ne jamais cesser de naître.
(Thérèse Bertherat)
Mercredi 3 octobre 2012 à 16:59